Bonne année, mon cul !
Ce fut long et laborieux, mais elle est finalement arrivée, celle dont on fera désormais référence sous le sobre matricule de 2008. Les chiffres sont neutres, et ne laissent présumer de rien.
Cependant, il faut reconnaître qu'elle ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices. Car finalement, les quelques jours d'observation que nous nous sommes accordés avant nous lancer dans le difficile exercice des voeux ont confirmé nos pires craintes : L'année dernière, on s'était pris à croire avec le poète en sous pull rose que des temps nouveaux nous verraient avec "nos têtes colorées, en bleu ou en orangé, selon ce qu'on aura mangé..." 2008, c'était aussi, nous disait la prophétie,l'année où "se regarder au fond des yeux, C'était comme faire l'amour à deux..."
La réalité est amère : nos chevelures sont toujours aussi ternes -et de plus en plus clairsemée en ce qui me concerne- et se regarder au fond des yeux a toujours autant d'intérêt qu'une rapide branlette adolescente.
Et ceci n'est qu'un signe parmi d'autres : pêle-mêle , la reproduction à un rythme de lapins des coins où une guerre nucléaire est plus que probable, la prévisible sortie du placard de la grippe aviaire et de la peste bubonique, la pullulante action de la Chine, de l'Inde et autres zones non bleutées des côtés de la carte visant à nous piller nos moindres savoir-faire jusqu'à de probables contrefaçons du tourteau fromager, la généralisation des cyclones à la place des averses, la crise des subprimes qui va probablement multiplier exponentiellement la descendance directe de Don Quichotte, le débordement de la baignoire mondiale... sans parler du balancement frénétique entre l'affligeant et le navrant auquel notre ineffable PDG nous a habitué depuis les quelques 8 mois (seulement!) depuis son élection.
Quelle solution alors ? devons nous nous suicider ? Certes, ca peut paraître une solution. Mais en aurons-nous le temps ?
Non! Ne cédons pas au désarroi. Il y a encore des sources d'espoir.
Lesquelles ? Notre mission en 2008 sera de les trouver...
Musique !
Cependant, il faut reconnaître qu'elle ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices. Car finalement, les quelques jours d'observation que nous nous sommes accordés avant nous lancer dans le difficile exercice des voeux ont confirmé nos pires craintes : L'année dernière, on s'était pris à croire avec le poète en sous pull rose que des temps nouveaux nous verraient avec "nos têtes colorées, en bleu ou en orangé, selon ce qu'on aura mangé..." 2008, c'était aussi, nous disait la prophétie,l'année où "se regarder au fond des yeux, C'était comme faire l'amour à deux..."
La réalité est amère : nos chevelures sont toujours aussi ternes -et de plus en plus clairsemée en ce qui me concerne- et se regarder au fond des yeux a toujours autant d'intérêt qu'une rapide branlette adolescente.
Et ceci n'est qu'un signe parmi d'autres : pêle-mêle , la reproduction à un rythme de lapins des coins où une guerre nucléaire est plus que probable, la prévisible sortie du placard de la grippe aviaire et de la peste bubonique, la pullulante action de la Chine, de l'Inde et autres zones non bleutées des côtés de la carte visant à nous piller nos moindres savoir-faire jusqu'à de probables contrefaçons du tourteau fromager, la généralisation des cyclones à la place des averses, la crise des subprimes qui va probablement multiplier exponentiellement la descendance directe de Don Quichotte, le débordement de la baignoire mondiale... sans parler du balancement frénétique entre l'affligeant et le navrant auquel notre ineffable PDG nous a habitué depuis les quelques 8 mois (seulement!) depuis son élection.
Quelle solution alors ? devons nous nous suicider ? Certes, ca peut paraître une solution. Mais en aurons-nous le temps ?
Non! Ne cédons pas au désarroi. Il y a encore des sources d'espoir.
Lesquelles ? Notre mission en 2008 sera de les trouver...
Musique !